• Brahim Izri : les artistes, comme les poète, ne meurent jamais

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    Il est parti à la fleur de l'âge. Le chanteur kabyle Brahim Izri est mort le 3 janvier 2005 à l'âge de 50 ans. Il s'était éteint à la suite d'une maladie dans un hôpital à Paris, ville où il vivait depuis la fin des années 70. L'enfant d'Ath Lahcène, son village natal dans la commune d'Ath Yenni, qui fait face à la majestueuse montagne du Djurdjura, en Kabylie (Algérie), revient cette semaine.
    L'Etablissement Arts et Culture d'Alger a décidé de lui rendre un vibrant hommage les 28 et 29 janvier, en organisant des concerts de musique. Brahim Izri, issue d'une famille de musiciens, fut l'un des ambassadeurs de la chanson Kabyle à l'étranger, notamment en France.
    Adolescent, il a participé, pendant près d'une dizaine d'années, aux « hardra »(séances de chants religieux) organisées une foie par semaine à la zaouia de son grand-père, El-Hadj Belkacem. Un mausolée très fréquenté par les habitants de Kabylie, situé à quelques kilomètres du pont de Takhoukht, sur la route menant vers Ath Yenni, Ath Ouacifs et Iboudraren et le sommet du Djurdjura.
    Brahim Izri, né le 12 janvier 1954, avait fondé, en 1973, avec plusieurs amis lycéens un premier groupe de chant dénommé « Igoudar » (les éperviers) au Lycée de Larba Nath Iraten (ex-Fort National). Il avait ensuite poursuite son aventure artistique en solo en s'intégrant dans le genre de la chanson dite moderne née quelques années auparavant. Parmi ses succès figurent « vava vahri », suivis quelques années plus tard par « d'acu-yi » (qui suis-je), « Tizi Ouzou » et bien d'autres chansons de belles factures.
     

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