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Par arez le 16 Janvier 2009 à 22:11De gauche à droite: les chanteurs kabyles Slimane Chabi, Lounis Aït Menguellet et Hassan Abassi le 15 janvier 2009 à la Maison de la Culture de Tizi Ouzou, en Algérie
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Par arez le 16 Janvier 2009 à 22:08
La grande salle de la Maison de la culture de Tizi Ouzou (Algérie) pleine comme un oeuf à l'occasion de l'hommage rendu au poète-chanteur Lounis Aït Menguellet le 15 janvier 2009
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Par arez le 20 Décembre 2008 à 19:09<o:smarttagtype namespaceuri="urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" name="metricconverter"></o:smarttagtype>
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Il est là. Il est revenu, après avoir déserté la scène artistique pendant une vingtaine d'années. Il a marqué son retour par un excellent concert au Théâtre de verdure d'Alger, devant une assistance peu nombreuses mais de qualité, qui a apprécié et applaudi chaleureusement chacune des œuvres interprétées avec amour, parfois avec passion, par chanteur.
Ouazib Mohand Améziane, c'est de lui qu'il s'agit, a démarré la soirée, le 18 décembre 2008, par un chant patriotique intitulé « Amjahed ahouri », une œuvre anonyme chantée par les moudjahidine (combattants), pendant la guerre de libération nationale, dans les maquis d'Ath Zmenzar, d'Ath Douala, Iwadhiyen et d'autres coins de Kabylie. Un chant qui parle des jeunes qui rejoignaient les maquis et de leur détermination à lutter pour arracher l'indépendance du pays.
Il a enchaîné avec « Abrid itibwin », sa première chanson, vieille de 35 ans mais toujours d'actualité. Elle n'a pris aucune ride. C'est avec « Abrid itibwin » qu'il a débuté sa carrière artistique, après avoir été découvert, au début des années 70, par Medjahed Mouhoub qui animait à l'époque une émission intitulée (si la mémoire ne me fait pas défaut) « le micro baladeur ».
L'accueil chaleureux et affectueux réservé par les spectateurs à Ouazib Mohand Améziane le 18 décembre, dont certains -- les moins de 20 ans -- ne l'ont jamais vu sur scène montre, si besoin est, que l'avenir appartient à la chanson à texte, à la belle mélodie, à des chansons qui véhiculent un message d'espoir, d'amour, de contestation, de revendication ou de révolte. « Ceux qui prétendent que la chanson à texte est morte doivent revoir leur diagnostic », dira Malika, une spectatrice d'une cinquantaine d'années, qui a fait le déplacement depuis Blida (<st1:metricconverter productid="50 km" w:st="on">50 km</st1:metricconverter> d'Alger) pour assister au concert de l'auteur de « Ath wawal ».
Ouazib Mohand Améziane a profité de ce concert pour distribuer, gratuitement, et uniquement pour les enfants, l'avenir du pays, plus d'une centaine d'exemplaires de son dernier CR qui vient tout juste d'être mis sur le marché. Les chansons de Ouazib « permettent de tenir la tête hors de l'eau », comme l'a souligné un journaliste dans le quotidien L'Authentique.
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Par arez le 11 Avril 2008 à 00:06
Le Théâtre de Verdure d'Alger a vibré, encore une fois, ce jeudi 10 avril 2008, aux rythmes de la chanson kabyle. Quatre excellents chanteurs, tous des virtuoses, se sont succédés sur scène pour, chacun avec sa sensibilité, rendre un vibrant hommage à trois grands chanteurs, qui ont, à des degrés divers, marqué de leur empreinte la chanson kabyle : cheikh Arab Bouyezgarène, Ahcène Mezani et Oukil Amar.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />La salle était archicomble. Plusieurs centaines de personnes, dont des familles, ont fait le déplacement pour assister spectacle. Un spectacle haut en couleurs animé par les chanteurs Ferhat Medrouh, Nacer Mokdad, Saïd Kazem et Chérif Hamani, considéré comme l'un des « cheikh » (maîtres) de la chanson populaire kabyle, dont la chanson «tala » a été suivie dans un silence religieux. L'un des points communs de ces quatre Artistes est que leurs répertoires comptent des œuvres dont on apprécie à la fois les belles mélodies et la profondeur des textes.Sur la photo, Chérif Hamani, Saïd Kazem et Hacène Ahrès interprétant, accompagnés par des spectateurs, une chanson marquant la fin du gala qui a duré plus de trois heures. Un beau spectacle qui s'est terminé en apothéose avec les chanteurs, les animateurs et les spectateurs sur scène pour interpréter en choeur une chanson de cheikh Arab Bouyezgarène.
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Par arez le 10 Avril 2008 à 23:58
Chérif Hamani au gala-hommage aux grands chanteurs kabyles cheikh Arab Bouyezgarène, Ahcène Mezani et Amar Oukil organisé le 10 avril 2008 au Théâtre de verdure à Alger.
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