• Hommage à l'incomparable et inimitable chanteur Kabyle feu Cheikh El-Hasnaoui, inhumé à l'Ile de la Réunion. 

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  • la Chanteuse Djamila, en rôle traditionnelle kabyle, lors de l'hommage qui lui a été rendu le 20 mars dernier au Théâtre de Verdure à Alger.


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  • Hommage à la chanteuse Djamila au Théâtre de Verdure à Alger.

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    Un film-documentaire de 52 minutes sur la vie et l'œuvre du chanteur engagé Matoub Lounès est en cours de réalisation. Le tournage a déjà commencé. Il se fera en Algérie et en France. Le projet est mené par Mizrana Production, une société de production qui a déjà à son actif « 
    Le testament d'une moudjahida centenaire » (ancienne combattante de la guerre d'indépendance 1954/1962)) et « Tigzirt entre ciel et mer ».
    Le réalisateur, Mourad Hammani, a déjà réalisé plusieurs prises de vue à Taourirt Moussa, village natal de Matoub Lounès, dans sous-préfecture de Béni Douala, à 17 km au sud de Tizi Ouzou.
    Il a interviewé de nombreux fans du chanteur à l'occasion de la commémoration du 9ème anniversaire de l'assassinat de Matoub, le 26 juin 1998, dans une embuscade tendue par un groupe armé en plein jour à Tala Bounane, sur la route reliant Tizi Ouzou et Béni Douala.
    Plusieurs personnalités ayant connu  ou côtoyé Matoub Lounès et celles qui lui consacré des ouvrages interviendront dans le documentaire pour apporter leurs témoignages sur l'homme, le chanteur et son œuvre.
    Le film-documentaire sera fin près pour le 10ème anniversaire de  la disparition du chanteur. Son réalisateur, Mourad Hammani, a déclaré à la Dépêche de Kabylie que, comme tous les jeunes, il a été lui aussi « marqué sérieusement » par la personnalité de Matoub Lounès.
    « Matoub Lounès mérite tous les honneurs et les hommages. Il fut d'ambassadeur de toutes les causes justes et le défenseur des opprimés. Dix ans après sa disparition, il demeure un mirador inébranlable qui nous indique la voie à suivre. Il est né pour mener une mission. Il est venu au monde pour secouer, avec une force extraordinaire, des siècle d'injustice et révolutionner les choses et, surtout, redonner vie et existence à une culture et une civilisation plusieurs fois millénaire, menacée d'extermination par des circonstances injustes », a ajouté Mourad Hammani.

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  • 40 ans, c'est toute une vie. C'est cette longue période que Lounis Aït Menguellat a consacrée, depuis 1967, à la chanson, plutôt à la poésie. Car avant d'être un interprète, Lounis est d'abord un poète, un orfèvre des mots, d' « aheddadh bw awal » comme on le dit si bien en Kabylie, sa langue maternelle.
    La chaîne II (berbère) de la radio algérienne lui a rendu jeudi 28 juin 2007 un bel et vibrant hommage pour ses 40 ans de chansons, dans le cadre de l'émission « ighzif ay idh ». Un hommage bien mérité, rehaussé par la présence et la participation de plusieurs grandes figures de la chanson et de la poésie Kabyles.
    Lounis était entouré, durant les 4 heures qu'a duré le programme, de ces amis et de ceux qui ont marqué, à un moment ou un autre, la culture Kabyle, à l'image de Chérifa, Nouara, Akli Yahiaten, Taleb Rabah et Kamel Hamadi. Ce dernier, parent Lounis, était son premier parolier et compositeur.
    Il y avait aussi la poétesse Hadjira et le poète Benmohamed, son « complice » de toujours, qui a fait le déplacement de Paris pour participer à cet hommage, apporter son témoignage sur le parcours de l'artiste.
    L'ethnomusicologue Mahfoufi Mhenna, ancien chanteur des années 70, auteur et interprète des chansons « an ruh ad nekkes tizwal » et « va chez toi », figure aussi parmi les présents, venus rendre hommage à Lounis. Il y avait aussi de nombreux autres chanteurs tels que Brahim Tayeb, Rabah Inesliyen, Mohand Ouali, « Billy » (des Abranis) ainsi que des personnalités.
    L'auditorium était plein comme un œuf. Il arrivait difficilement à contenir le nombre, très important, de toutes celles et de tous ceux qui ont fait le déplacement pour participer et contribuer, qui par sa présence, qui par son intervention, qui par une chanson, au succès de cet hommage.

    Oui, il faut le répéter : 40 ans, c'est toute une vie consacrée à la chanson. Ait Menguellat, par son travail, ses textes et ses mélodies sentant le terroir, s'est élevé au rang de « amusnaw ».

    (Voici l'hommage en quelques photos de cette icône de la chanson kabyle, l'enfant de Ighil Bouamas, un village des hautes montagnes du Djurdjura).

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