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  • Bonne et heureuse année

    à tous les visiteurs de ce blog.

    Puisse 2009 vous apporter paix,

    santé, bonheur et prospérité.


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  • L'écrivain Tahar Ouattar n'a pas dérogé à la règle des arabo-islamo-bathistes. Lui et les autres passent leur vie à critiquer la France, la langue française et les Ecrivains algériens de cette langue. Mais dès qu'ils ont un petit bobo, ils courent vers les hôpitaux parisiens pour se faire soigner. Pourquoi n'y vont-ils pas vers Amman, Tunis, Rabah, Le Caire, Ryadh, Damas, Doha, Koweït ou tout simplement Aïn Naadja, Mustapha ou Béni Messous à Alger ? Ne font-ils pas confiance au toubib et établissements hospitaliers des pays arabes et de leur pays ? <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />Pour Ouattar, les auteurs algériens écrivant dans la langue de Molière ne sont pas des Algériens !!! Rien que çà. Lors de l'assassinat de l'Ecrivain et journaliste Tahar Djaout en mai 1993, Ouattar avait déclaré que la mort du jeune auteur « était une perte pour la France ». Et c'est en direction de cette France, honnie et fustigée hier, que s'est tournée Ouattar pour se faire soigner, se refaire une santé. Le quotidien El Moudjahid rapporte dans son édition du 30 décembre que Ouattar « poursuit ses examens médicaux dans d'excellentes conditions dans un hôpital parisien... et se porte de mieux en mieux ». Merci pour la France.

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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Vve">La Vve</st1:PersonName> de l'écrivain algérien Mouloud Féraoun est décédée. Mme Féraoun, née Dahbia Débiane, a été inhumée samedi 27 décembre 2008 au village de Tizi Hibel, dans la daïra (sous-préfecture) de Béni Douala, dans la région de Tizi Ouzou, en Kabylie.Son époux, feu Mouloud Féraoun, né le 8 mars <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="1913, a">1913, a</st1:metricconverter> été assassiné le 15 mars 1962 par l'OAS (Organisation de l'armée secrète créée par des colons français opposés à l'indépendance de l'Algérie) en même temps que plusieurs autres inspecteurs des centres sociaux à Alger.

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  • Ce n'est pas encore fait. Mais ça va se faire. « Fouroulou », le personnage principal du livre Le fils du pauvre de Mouloud Feraoun, va être porté à l'écran. Le projet est fin prêt. La commission de lecture du ministère algérien de la Culture a donné son accord, a indiqué le réalisateur Youcef Bouchouchi en marge de l'hommage qui lui été organisé jeudi 25 décembre 2008 à Alger.

    Il reste à trouver « le nerf de la guerre », c'est-à-dire le fric, nécessaire qui permettra à M. Bouchouchi de donner le premier coup de manivelle. Le montage financier pour la production de ce long métrage se présente certainement comme le plus gros problème.
    Car dans une Algérie ou la grande majorité, pour ne pas dire la totalité, des salles obscures sont fermées, abandonnées ou transformées en fast-food « à la propreté à peu près », il ne faut pas s'étonner ou s'offusquer de ne pas trouver de mécènes ou de sponsors pour aider le cinéma. Oui, le cinéma constitue le dernier souci de nos gouvernants.
    Mouloud Féraoun, né le 8 mars 1913 à Tizi Hibel, en Kabylie, a été assassiné le 15 mars 1962 par l'Organisation criminelle OAS (Organisation de l'armée secrète créée par des colons français opposés à l'indépendance de l'Algérie) à trois jours seulement de la signature des accords d'Evian.
    « On l'avait assassiné dans le but évidemment de priver l'Algérie de demain de son élite, de ses guides, de son intelligentsia. Parce que l'homme était aussi un éducateur, un formateur des cadres de demain et plus que jamais un observateur lucide plus qu'avisé. L'OAS, à travers cet acte ignoble, visait surtout l'Algérie ».
    Contrairement au titre, « Le fils du pauvre » est un ouvrage riche, rédigé dans un style concis et limpide. En sera-t-il autant du futur film ? Nous l'espérons.

     


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