• AKLI YAHIATEN : l’éternel jeune artiste de… 76 ans


    L’éternel jeune homme Akli Yahiaten a fait un tabac mercredi 9 septembre à la salle El- Mougar à Alger. Il a offert à ses fans et admirateurs, encore nombreux, un concert de qualité et haut en couleur. La salle était presque pleine de spectateurs venus, la plupart en famille (hommes, femmes, enfants), pour entendre et apprécier les belles mélodies de Dd’Akli qui ont fait fureur durant les années 60 et 70. Des mélodies qui ont bercé plus plusieurs générations d’hommes et de femmes.
    L’enfant de At Mendès, du haut de ses 76 printemps, a interprété huit de ses chansons avec autant de talent, de brio, d’amour et d’enthousiasme qu’à ces débuts, vers la fin des années 50, dans les cafés-restaurants kabyles de Paris et des autres villes de France.

    Il a interprété certaines de ses chansons en chœur avec le public. C’est le cas pour « El Menfi », « Zrigh zzin di michelet », « Tamourt iw, tamurt idurar », « Jahagh vezzaf d amezian » et « Inas im layun tawes ».

    Akli Yahiaten, en dépit de son âge, ne veut pas ranger son luth. Il persiste et signe : il a décidé de poursuivre son petit bonhomme de chemin, par passion et pour l’amour qu’il porte à la chanson.

    Pour son concert organisé à Alger, Yahiaten était accompagné par des musiciens et la chorale de l’Orchestre symphonique national dirigé par le maestro Rachid.

    Ce fut un belle soirée qui a remis en mémoire à plus d’un les galas artistiques des années 70 et la fougue des spectateurs de la même période.


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