• Stade du plateau d'Aswel, sur les hauteurs des montagnes du Djurdjura, en Kabylie (Algérie)


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  • Vue sur les villages de Kabylie à partir du plateau d'Aswel près de la station climatique de Tikjda


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  • Vue générale de la station climatique de Tikjda, en Kabylie (Algérie).


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  • Réunir sur un même plateau, une même scène Hacène Ahres, Ouazib Mohand Améziane et Boudjema Agraw ne peut donner qu'un beau spectacle. C’est ce qui s’est produit mardi soir à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou.
    Les centaines de spectateurs, en majorité des jeunes, qui ont fait le déplacement ont été comblés. Ils ont eu pour leur argent. Le trio s’est réellement surpassé. Chacun des trois Artistiques de talent, auxquels ont fait appel rarement malheureusement, a fourni une belle prestation.
    Le nombreux public venu assister à la soirée a démontré, une fois de plus, que la chanson à texte, longtemps mise en quarantaine par les « beggarin » de la musique, commence à reprendre ses droits et sa noblesse. Comme le dit si bien l’adage : « akken yebghu ihcar w asif, ad yughal ar l-heddis ».


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    Le maître incontesté de la chanson religieuse kabyle, Mokrane Agaoua, a tiré sa révérence. Il est décédé samedi matin à l’âge de 80 ans dans son village natal d’Ath Atelli, près de Larba n’Ath Iraten, sur les hauteurs de Tizi Ouzou, en Kabylie.
    Il avait commencé à chanter à l’âge de 15 ans, au milieu des années 40. Installé à Béjaïa dès 1949, il faisait parti du noyau d’artistiques qui animait la station régionale kabyle de la capitale des Hammadites jusqu’en 1952.
    Il compte quelques 500 chansons religieuses et sentimentales à son actif, mais seule une partie a fait l’objet d’enregistrement sur disques ou à la chaîne II de la radio algérienne. Il avait côtoyé, depuis 1949, quelques uns des plus grands chanteurs et musiciens kabyles.

    Mokrane Agaoua a été inhumé dimanche dans son village natal.


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